Retrouvez directement sur notre site les Unes du 05 juillet 2015 des principaux journaux d’information.
L’état d’urgence avait été levé en Tunisie en mars 2014, après avoir été sans cesse renouvelé depuis janvier 2011, au moment la fuite du président Ben Ali.
Le phénomène prospère sur les difficultés économiques du pays. Certains employés préfèrent renoncer à leurs droits pour gagner plus d’argent.
L’état d’urgence avait été levé en Tunisie en mars 2014, après avoir été sans cesse renouvelé depuis janvier 2011, au moment la fuite du président Ben Ali.
Le phénomène prospère sur les difficultés économiques du pays. Certains employés préfèrent renoncer à leurs droits pour gagner plus d’argent.
10 millions de Grecs sont appelés à se prononcer pour ou contre le plan d’aide des créanciers du pays. L’issue du vote est incertaine.
Près de 10 millions de Grecs sont appelés à se rendre aux urnes pour donner leur avis sur le plan d’aide des créanciers du pays. Le résultat est indécis.
Près de 10 millions de Grecs sont appelés à se rendre aux urnes ce dimanche pour donner leur avis sur le plan d’aide des créanciers du pays. Le résultat est indécis.
A suivre Le texte soumis au vote porte sur des points très techniques difficilement compréhensibles pour les électeurs.
Sortie de l’euro, survie politique de Tsipras, renégociation de la dette, ou abandon des politiques d’austérité. L’enjeu du vote grec n’est peut-être pas dans la question posée.
EN DIRECT - Près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter ce dimanche pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. L’issue du référendum est incertaine. Les camps du «oui» et du «non» se sont mobilisés jusqu’au bout. Suivez notre live pour comprendre tous les enjeux de ce scrutin historique.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
EN DIRECT - Près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter ce dimanche pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. L’issue du référendum est totalement incertaine. Suivez notre live pour comprendre tous les enjeux de ce scrutin historique.
Le texte soumis au vote porte sur des points très techniques difficilement compréhensibles pour les électeurs.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
Les Grecs se prononcent dimanche sur les mesures proposées par les créanciers du pays, un référendum déterminant mais organisé dans une grande confusion.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
Un tiers des Grecs vivent aujourd’hui au-dessous du seuil de pauvreté. Face à cette réalité, les initiatives caritatives se multiplient.
EN DIRECT - «Quel que soit le vote, nous devons dès demain reprendre des discussions politiques», a dit le ministre français de l’Economie. Près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter ce dimanche pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. L’issue du référendum est totalement incertaine.
Les Grecs sont appelés ce dimanche 5 juillet à voter pour ou contre le plan des institutions du 25 juin. Alexis Tsipras, le premier ministre et chef de Syriza, a invité les électeurs à voter « non ». Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne, a appelé à voter « oui ». Reportage dans une Grèce plus polarisée que jamais.
Le président du Parlement européen Martin Schulz assure qu’il y «aurait des fonds mobilisables à Bruxelles» pour accorder des crédits d’urgence à Athènes. Près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter ce dimanche pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. L’issue du référendum est totalement incertaine.
Posez-nous vos questions sur Twitter @Le_Figaro avec le hashtag #VosQuestions. L’économiste Christopher Dembik, vous répond en direct dans ce Live. Ce dimanche, près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. L’issue du référendum est totalement incertaine.
Les réformes destinées à favoriser la méritocratie et la transparence n’ont pas été entreprises.
Ce dimanche, au congrès du Parti de gauche à Villejuif (Val-de-Marne), en plein référendum grec, le président du mouvement n’a pas caché son objectif : la campagne présidentielle.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
Reportage Ce dimanche, au congrès du Parti de gauche à Villejuif (Val-de-Marne), en plein référendum grec, le président du mouvement n’a pas caché son objectif : la campagne présidentielle.
«On vote non, mais on a peur. Mais quand on vote oui, on a peur aussi», témoigne une Grecque en larmes. Depuis ce matin, près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. Posez-nous vos questions sur Twitter @Le_Figaro avec le hashtag #VosQuestions.
Les réformes destinées à favoriser la méritocratie et la transparence n’ont pas été entreprises.
Analyse L’annonce par le président tunisien de la mise en place de l’état d’urgence, samedi, n’a pas suffi à rassurer un pays encore sous le choc des attentats du Bardo et de Sousse.
Après des mois de crise, les Grecs décident de leur futur. Les bureaux de vote ferment à 19 heures (18 heures à Paris) et les résultats sont attendus dans la soirée.
«On vote non, mais on a peur. Mais quand on vote oui, on a peur aussi», témoigne une Grecque en larmes. Depuis ce matin, près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays.
«On vote non, mais on a peur. Mais quand on vote oui, on a peur aussi», témoigne une Grecque en larmes. Depuis ce matin, près de 10 millions de Grecs sont appelés à voter pour ou contre les réformes voulues par les créanciers du pays. Les bureaux ferment à 18 heures (heure de Paris).
Enquête Depuis fin 2013, une vingtaine de jeunes de cette petite ville de l’Hérault sont partis en Irak et en Syrie. Pour la plupart, ils ont grandi ensemble et tentent de rester soudés malgré les épreuves.
Les bureaux de vote ferment à 19 heures (18 heures à Paris) et les résultats sont attendus dans la soirée. Selon un dernier sondage, le non l’emporterait avec 53 % des voix.
Depuis fin 2013, une vingtaine de jeunes de cette petite ville de l’Hérault sont partis en Irak et en Syrie. Pour la plupart, ils ont grandi ensemble et tentent de rester soudés malgré les épreuves.
Les résultats de ce référendum crucial pour l’avenir de la Grèce sont attendus dans la soirée. Selon un dernier sondage, le non l’emporterait avec 53 % des voix.
Les bureaux de vote ont fermé comme prévu à 18 heures, heure de Paris. Les premiers sondages publiés par les médias grecs évoquent une victoire du «non». Les résultats définitifs ne devraient être connus qu’en fin de soirée.
Les Grecs étaient appelés à se déterminer sur le plan de réformes formulé par les créanciers du pays. Le premier ministre Alexis Tsipras les avait appelés à le rejeter.
Au fil de la journée Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Des premières estimations données juste après la fermeture des bureaux de vote donnent le non en tête de quelques points.
Les Grecs étaient appelés à se déterminer sur le plan de réformes formulé par les créanciers du pays. Les premières projections officielles sont attendues à 20 heures (heure de Paris).
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
Sur la base de 10 % des bulletins dépouillés, le non arriverait en tête avec 59,8 % des voix, contre 40,1 % pour le oui, selon le ministère de l’intérieur grec.
Sur la base de 10% des bulletins dépouillés, le «non» au référendum sur les propositions des créanciers internationaux de la Grèce l’emporte avec près de 60% des voix contre 40,1% pour le «oui», selon le ministère de l’Intérieur grec. Les résultats définitifs ne devraient être connus qu’en fin de soirée.
Sur la base de 15 % des bulletins dépouillés, le non arriverait en tête avec 60,3 % des voix, contre 39,7 % pour le oui, selon le ministère de l’intérieur grec.
Au fil de la journée Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Des premières estimations données juste après la fermeture des bureaux de vote donnent le non en tête de quelques points.
Sur la base de 20% des bulletins dépouillés, le «non» au référendum sur les propositions des créanciers internationaux de la Grèce l’emporte avec plus de 60% des voix contreun peu moins de 40% pour le «oui», selon le ministère de l’Intérieur grec. Les résultats définitifs ne devraient être connus qu’en fin de soirée.
Sur la base de 21,5 % des bulletins dépouillés, le non au référendum arriverait en tête avec 60,45 % des voix, contre 39,55 % pour le oui, selon le ministère de l’intérieur grec.
Heure par heure Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Des premières estimations données juste après la fermeture des bureaux de vote donnent le non en tête de quelques points.
Sur la base de 21,5 % des bulletins dépouillés, le non au référendum arriverait en tête avec 60,45 % des voix, contre 39,55 % pour le oui, selon le ministère de l’intérieur grec. Selon les projections, le non pourrait remporter 61% des suffrages.
Heure par heure Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Selon les premiers résultats partiels du ministère de l’Intérieur, le «non» est en tête à 60%.
Sur la base de 40% des bulletins dépouillés, le «non» au référendum sur les propositions des créanciers internationaux de la Grèce l’emporte avec plus de 61% des voix contre un peu moins de 39% pour le «oui», selon le ministère de l’Intérieur grec. Les résultats définitifs ne devraient être connus qu’en fin de soirée.
Selon les projections officielles, le non l’emporterait très largement. Sur la base de 37 % des suffrages dépouillés, le non recueille 61,07 % des voix, contre 38,93 % pour le oui
Les Grecs ont majoritairement voté dimanche contre le plan des institutions du 25 juin. Alexis Tsipras, le premier ministre et chef de Syriza, avait invité les électeurs à voter « non ». Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne, avait appelé à voter « oui ». Reportage dans une Grèce plus polarisée que jamais.
Selon les projections officielles, le non, défendu par le gouvernement d’Alexis Tsipras, l’emporterait très largement. Sur la base de 37 % des suffrages dépouillés, le non recueille 61,07 % des voix, contre 38,93 % pour le oui
Les Grecs ont majoritairement voté dimanche contre le plan des institutions du 25 juin. Alexis Tsipras, le premier ministre et chef de Syriza, a remporté une manche face à ses partenaires européens. Reportage dans une Grèce plus polarisée que jamais.
Des centaines de Grecs, en scandant des slogans contre l’austérité, ont commencé à se rassembler ce soir sur la place Syntagma, dans le centre d’Athènes, pour manifester leur joie, alors que le «non» est bien parti pour l’emporter. Les résultats définitifs ne devraient être connus qu’en fin de soirée.
Selon les projections officielles, le non au référendum l’emporterait très largement. Alors que plus de la moitié des suffrages ont été dépouillés, il recueille 61,25 % des voix, contre 38,75 % pour le oui.
Heure par heure Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Selon une projection officielle, le «non» aux propositions des créanciers devrait atteindre plus de 60% des voix.
Selon les projections officielles, le non au référendum, défendu par le gouvernement grec, l’emporterait avec 61,25 % des voix, alors que plus de la moitié des suffrages ont été dépouillés.
Les Grecs ont très majoritairement voté dimanche contre le plan des institutions du 25 juin. Alexis Tsipras, le premier ministre et chef de Syriza, a remporté une manche face à ses partenaires européens. Reportage dans une Grèce plus polarisée que jamais.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays. Les bureaux de vote ont ouvert à 7 heures ce matin. Les premiers résultats du référendum sont attendus en début de soirée.
Heure par heure Le scrutin annoncé la semaine dernière se tenait ce dimanche. Selon une projection officielle, le «non» aux propositions des créanciers devrait atteindre plus de 60% des voix.
Récit Dimanche, la Grèce a dit «non» («oxi») à 60 % aux propositions de ses créanciers. Une victoire pour Tsípras qui plonge l’Union européenne dans l’inconnu.
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays.
Alors que la victoire du «non» se profile à l’horizon, le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis accepte de «tendre la main à nos partenaires». Tsipras appelle à une «intensification» des discussions. Mais Berlin hausse le ton. Merkel est attendue à Paris lundi soir.
Selon les projections officielles, le non au référendum, défendu par le gouvernement grec, l’emporterait avec plus de 61 % des voix, alors que plus des deux tiers des suffrages ont été dépouillés.
Alors que la victoire du «non» se profile à l’horizon, le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis accepte de «tendre la main à nos partenaires». Tsipras appelle à une «intensification» des discussions. Mais Berlin hausse le ton. Merkel est attendue à Paris lundi soir.
Alors que la victoire du «non» se profile à l’horizon, le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis accepte de «tendre la main à nos partenaires». Tsipras appelle à une «intensification» des discussions. Mais Berlin hausse le ton. Merkel est attendue à Paris lundi soir.
Selon les projections officielles, le non au référendum, défendu par le gouvernement grec, l’emporterait avec plus de 61 % des voix. A Paris, à Berlin et à Athènes, on ne prépare à une semaine de difficiles négociations.
Heure par heure Les Grecs ont refusé d’avaliser les propositions des créanciers lors du référendum de dimanche. Merkel et Hollande appellent à l’organisation d’un sommet de la zone euro mardi.
Selon les projections officielles, le non au référendum, défendu par le gouvernement grec, l’emporterait avec plus de 61 % des voix. A Paris, à Berlin et à Athènes, on se prépare à une semaine de difficiles négociations.
Heure par heure Les Grecs ont refusé d’avaliser les propositions des créanciers lors du référendum de dimanche. Alexis Tsipras a salué une «décision courageuse et historique».
Près de dix millions de Grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour dire «oui» ou «non» au plan d’aide proposé par les créanciers (UE, BCE, FMI) au pays.
Comme son ministre des Finances, le premier ministre va fêter la victoire du «non» avant de «chercher dès demain tous ensemble une solution à la crise». Le ministre allemand de l’Économie hausse le ton. Merkel est attendue à Paris lundi soir.
Récit Dimanche, la Grèce a dit «non» («oxi») à plus de 60 % aux propositions de ses créanciers. Une victoire pour Tsípras qui plonge l’Union européenne dans l’inconnu.
Comme son ministre des Finances, le premier ministre va fêter la victoire du «non» avant de «chercher dès demain tous ensemble une solution à la crise». Le ministre allemand de l’Économie hausse le ton contre Tsipras. Merkel est attendue à Paris lundi soir.
Le non, largement vainqueur avec plus de 62 % des voix, a été salué par le premier ministre Alexis Tsipras qui compte relancer immédiatement les discussions avec ses créanciers.
Le « non » l’a très largement emporté dimanche, recueillant plus de 60 % des suffrages. Le premier ministre grec Alexis Tsipras se dit prêt à retourner à la table des négociations. Un sommet extraordinaire de la zone euro va se tenir mardi.