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Après le rejet massif du plan de réformes des créanciers d’Athènes, un sommet des dix-neuf pays de l’euro va se réunir mardi.
Le non, largement vainqueur avec plus de 62 % des voix, a été salué par le premier ministre Alexis Tsipras qui compte relancer immédiatement les discussions avec ses créanciers.
Le non, largement vainqueur avec plus de 61 % des voix, a été salué par le premier ministre Alexis Tsipras qui compte relancer immédiatement les discussions avec ses créanciers.
Ce dimanche, les Grecs ont dit non à une très grande majorité au plan présenté la semaine dernière par les créanciers du pays. Mais si ce résultat conforte Alexis Tsipras en interne, il laisse plusieurs questions sans réponse. Quatre points à retenir.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
«On m’a informé d’une certaine préférence de certains membres de l’Eurogroupe pour mon absence des réunions. Une idée que le premier ministre Alexis Tsipras a jugé potentiellement utile à l’obtention d’un accord», écrit le ministre démissionnaire sur son blog.
Le non au référendum, défendu par le gouvernement grec, l’a emporté avec 61,31 % des voix. A Paris, à Berlin et à Athènes, on se prépare à une semaine de difficiles négociations.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
Suivez la situation en direct, au lendemain du non grec, à 61,31 %, au référendum sur la proposition des créanciers d’Athènes.
Le fil de la journée Yanis Varoufakis explique que son «absence» pourrait aider à l’obtention d’un accord.
Dimanche, les Grecs ont largement refusé les propositions présentées par les créanciers. Une victoire pour le gouvernement, qui n’a pas empêché la démission ce lundi de Yanis Varoufakis, ministre des Finances du pays.
«On m’a informé d’une certaine préférence de certains membres de l’Eurogroupe pour mon absence des réunions. Une idée que le premier ministre Alexis Tsipras a jugé potentiellement utile à l’obtention d’un accord», écrit le ministre démissionnaire sur son blog.
Suivez la situation en direct, au lendemain du non grec, à 61,31 %, au référendum sur la proposition des créanciers d’Athènes.
En décidant d’organiser un référendum, le premier ministre grec a pris un pari très risqué. Avec plus de 61 %. de oui, c’est un raz-de-marée qui renforce son gouvernement.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. Une victoire qui n’a pas empêché son ministre des Finances de démissionner.
Analyse En offrant à ses interlocuteurs européens la tête de Varoufakis, son ministre des Finances, le leader grec leur signifie qu’il ne veut pas rompre avec eux.
En décidant d’organiser un référendum, le premier ministre grec a pris un pari très risqué. Avec plus de 61 %. de «non», c’est un raz-de-marée qui renforce son gouvernement.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. Ce lundi matin, les bourses européennes ont cédé du terrain à l’ouverture.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. Ce lundi matin, les bourses européennes ont cédé du terrain à l’ouverture.
Le ministre grec des Finances a démissionné ce lundi matin, au lendemain du «non» de la Grèce aux propositions des créanciers qu’il qualifiait récemment de «terroristes». Son départ peut-il faciliter la reprise des négociations?
La victoire du «non» au référendum qui se tenait en Grèce ce dimanche, loin d’avoir tout réglé, place l’Europe et la Grèce à la croisée des chemins. Ils ont 48 heures pour éviter la réaction en chaîne qui conduirait au Grexit.
Sous la pression d’Alexis Tsipras, le ministre des finances a annoncé lundi matin sur son blog qu’il quittait le gouvernement, au lendemain de la victoire sans appel du non au référendum.
VIDÉO - Suivez en direct l’interview du député européen (PS). Êtes-vous convaincu par notre invité ? Cliquez ici.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
L’Allemagne estime que c’est à la Grèce d’agir pour rester dans l’euro. Au lendemain de la victoire du non au référendum, Berlin écarte toute discussion sur la restructuration de la dette. La matinée a été marquée par l’annonce de la démission du ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis.
Dimanche, les Grecs ont très largement voté contre les mesures proposées la semaine dernière par les créanciers. Quelques jours avant le scrutin, les pronostics ne laissaient en rien présager un tel résultat.
L’Allemagne estime que c’est à la Grèce d’agir pour rester dans l’euro. Au lendemain de la victoire du non au référendum, Berlin écarte toute discussion sur la restructuration de la dette. La matinée a été marquée par l’annonce de la démission du ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis.
Analyse En offrant à ses interlocuteurs européens la tête de Varoufakis, son ministre des Finances, le leader grec leur signifie qu’il ne veut pas rompre avec eux.
Le conseil des gouverneurs de la BCE se réunit aujourd’hui. Il devra choisir s’il maintient, ou non, ses financements d’urgence aux banques grecques. Au risque de précipiter le pays vers le « Grexit »…
Après la victoire du «non» au référendum, la question de la soutenabilité de la dette grecque est posée. Beaucoup se font un plaisir de rappeler que l’Allemagne, en 1953, a fait effacer 60% de sa dette. Est-ce comparable?
A quelques heures d’un entretien entre Angela Merkel et François Hollande à l’Élysée ce lundi soir, l’Allemagne hausse le ton et estime que c’est à la Grèce d’agir pour rester dans l’euro. Au lendemain de la victoire du non au référendum, Berlin écarte toute discussion sur la restructuration de la dette.
A quelques heures d’un entretien entre Angela Merkel et François Hollande à l’Élysée ce lundi soir, l’Allemagne hausse le ton avec Athènes. «Le résultat du référendum équivaut à un rejet des règles de l’Union monétaire», estime le ministre allemand de l’Économie, Sigmar Gabriel.
Le conseil des gouverneurs de la BCE se réunit aujourd’hui pour choisir s’il maintient, ou non, ses financements d’urgence aux banques grecques.
En offrant à ses interlocuteurs européens la tête de Varoufakis, son ministre des Finances, le leader grec leur signifie qu’il ne veut pas rompre avec eux.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. Le Premier ministre grec a accepté de formuler des propositions lors du sommet européen, prévu mardi.
Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne se réunit aujourd’hui pour choisir s’il maintient, ou non, ses financements d’urgence aux banques grecques.
Au lendemain du «non» exprimé par les Grecs lors du référendum initié par le Premier ministre Alexis Tsipras, l’ancien président de la République propose la mise en congé de la Grèce, qu’il accuse d’avoir «abandonné l’union monétaire».
A quelques heures d’un entretien entre Angela Merkel et François Hollande à l’Élysée, l’Allemagne hausse le ton avec Athènes par l’intermédiaire de son ministre de l’Économie, Sigmar Gabriel. Les banques grecques resteront fermées au-delà de mardi.
Reprise des négociations, divorce à l’amiable ou sortie désordonnée de l’euro : les trois scénarios possibles au lendemain du référendum.
Le gouvernement allemand ne veut pas entendre parler de restructuration de la dette, a déclaré le porte-parole d’Angela Merkel.
CYCLISME - Fabian Cancellara va-t-il conserver son maillot jaune? Le Tour débarque en Belgique pour une étape typiquement ardennaise avec une arrivée sublime au mur de Huy. Un live commenté à suivre ici.
A l’issue d’une réunion de plus de six heures, les dirigeants des partis de gouvernement et de l’opposition ont assuré qu’ils soutiendraient le premier ministre Alexis Tsipras lors de négociations à venir avec les créanciers internationaux de la Grèce.
La zone euro, ce monde merveilleux où celui qui remporte un scrutin démissionne (l’ancien ministre grec Varoufakis), tandis que celui qui s’est fait désavouer (le président de la commission Jean-Claude Juncker) reste au cœur de la négociation.
A l’issue d’une réunion de plus de six heures, les dirigeants des partis de gouvernement et de l’opposition ont assuré qu’ils soutiendraient le premier ministre Alexis Tsipras lors de négociations à venir avec les créanciers internationaux de la Grèce.
Victorieux, le gouvernement grec assure que son « pouvoir de négociation est renforcé ». Mais que peut-t-il se passer lors de cette semaine ponctuée de réunions, si la crise s’aggrave ?
Le gouvernement allemand ne veut pas entendre parler de restructuration de la dette, a déclaré le porte-parole d’Angela Merkel.
Au lendemain du «non» exprimé par les Grecs lors du référendum initié par le Premier ministre Alexis Tsipras, l’ancien président de la République propose la mise en congé de la Grèce, qu’il accuse d’avoir «abandonné l’union monétaire».
Le parti Les Républicains estime que le non au référendum "éloigne encore un peu plus la Grèce de ses partenaires de la zone euro» mais souhaite plaide pour une «dernière chance». Les centristes se montrent encore plus sévères.
La présidence grecque de la République annonce qu’Euclide Tsakalotos va remplacer Yanis Varoufakis qui a démissionné ce lundi matin. Il prêtera serment lundi. Cet économiste de formation, âgé de 55 ans, aura la lourde tâche de trouver un accord avec les créanciers.
Victorieux, le gouvernement grec assure que son « pouvoir de négociation est renforcé ». Mais que peut-il se passer lors de cette semaine ponctuée de réunions si la crise s’aggrave ?
Défendant la même ligne que son prédécesseur, il l’a déjà remplacé plusieurs fois lors de négociations avec les créanciers.
La victoire du «non» au référendum grec relance l’hypothèse d’un effacement au moins partiel de la dette. Or la France est l’un des principaux créanciers de la Grèce à qui elle a apporté quelque 43 milliards d’euros de garanties.
Défendant la même ligne que son prédécesseur, il l’a déjà remplacé plusieurs fois lors de négociations avec les créanciers.
La présidence grecque de la République annonce qu’Euclide Tsakalotos va remplacer Yanis Varoufakis qui a démissionné ce lundi matin. Il prêtera serment lundi. Cet économiste de formation, âgé de 55 ans, aura la lourde tâche de trouver un accord avec les créanciers.
La zone euro est ce monde merveilleux où celui qui remporte un scrutin démissionne (l’ancien ministre grec Varoufakis), tandis que celui qui est battu (Jean-Claude Juncker) reste au cœur de la négociation.
La chancelière allemande est arrivée en début de soirée à l’Élysée pour un entretien, suivi d’un dîner de travail, avec François Hollande afin d’accorder la position du couple franco-allemand au lendemain de la victoire du non au référendum grec.
Après la victoire du non au référendum, un sommet de la zone euro aura lieu mardi. Le président français et et la chancelière allemande ont souligné « l’urgence » de la situation et disent attendre les nouvelles propositions d’Athènes.
Le Président de la République s’est exprimé à l’issue d’une rencontre avec Angela Merkel, qui pour sa part estime que les «conditions préalables» pour un retour aux négociations «ne sont pas réunies».
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
La chancelière allemande est arrivée en début de soirée à l’Élysée pour un entretien, suivi d’un dîner de travail, avec François Hollande afin d’accorder la position du couple franco-allemand au lendemain de la victoire du non au référendum grec.
Les Grecs ont clairement rejeté par référendum le plan de réformes de leurs créanciers, ouvrant une ère d’incertitudes pour le pays et pour l’Europe.
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
François Hollande a assuré, à l’issue d’une rencontre avec Angela Merkel, que «la porte est ouverte aux discussions» avec la Grèce, au lendemain de la victoire du non au référendum, plaidant pour des propositions«sérieuses»du gouvernement Tsipras mais aussi pour «la solidarité».
Après la victoire du non au référendum, un sommet de la zone euro aura lieu mardi. Le président français et et la chancelière allemande ont souligné « l’urgence » de la situation.
Histoire Deux jeunes Marocaines risquent deux ans de prison pour avoir porté des «robes trop courtes». Un cas qui enflamme la toile entre conservateurs et progressistes.
François Hollande a assuré, à l’issue d’une rencontre avec Angela Merkel, que «la porte est ouverte aux discussions» avec la Grèce, au lendemain de la victoire du non au référendum, plaidant pour des propositions«sérieuses»du gouvernement Tsipras mais aussi pour «la solidarité».
Dimanche, les Grecs ont donné raison à Alexis Tsipras en refusant le plan proposé par les créanciers. La reprise des négociations promet d’être rude, alors que certains dirigeants entrouvent la porte à une sortie de la Grèce de la zone Euro.
Le fil de la journée Le Président de la République s’est exprimé à l’issue d’une rencontre avec Angela Merkel, qui pour sa part estime que les «conditions préalables» pour un retour aux négociations «ne sont pas réunies».
C’est inédit dans l’histoire politique grecque. Le premier ministre et les chefs des principaux partis du pays, opposition comprise, ont signé lundi une déclaration politique commune. Ils s’engagent à poursuivre les négociations avec pour objectif le maintien de la Grèce dans la zone euro.
C’est inédit dans l’histoire politique grecque. Le premier ministre et les chefs des principaux partis du pays, opposition comprise, ont signé lundi une déclaration politique commune.
France et Allemagne ont ouvert la voie à de nouvelles discussions, à condition qu’Athènes présente des propositions concrètes. La BCE reste sur ses gardes.
Trouver un accord, négocier sa sortie ou plonger dans le chaos… Le coup de poker électoral remporté par Aléxis Tsípras ne garantit pas une issue favorable à la crise grecque.
Après le «non» grec au référendum de dimanche, le sommet européen de mardi pourrait acter la sortie d’Athènes de la monnaie unique.